calvin -- Free Hugs

Vos papiers, s'il vous plaît.

Nom :

Brightside

Prénom :

Elias

Surnom donné par la production :

Calvin

Âge et date de naissance :

23 ans

Nationalité et lieu de naissance :

Né à Wellington, il est Néo-zélandais.

État civil :

Célibataire. Noooooon! Ne vous jetez pas toutes sur moi. Chacune son tour...

Encore un petit effort...

Personnalité sur l'avatar :

Ben Barnes

Code de validation :

Imagine

Multi-compte ?

Non =D

Tombons les masques!

Alors alors... Faire une présentation en bonne et due formes, ça va être corsé. Voyons voir. Comment je m'appelle déjà? Ah oui, Fiona. Oui, comme dans Shrek, et non, j'en ai pas encore trouvé de Shrek. Malheureusement d'ailleurs. Bref! J'ai 16 ans et demi, là il est important vu que mes 17 je les aurais en août ( ). J'suis en première L (VIVE LES LITTERAIRES !!) et j'm'y plais drôlement. Faut dire qu'une classe à 22, c'est vachement cool au lycée quand on sort d'une Seconde à 35. J'aime beaucoup écrire, donc en gros c'est pourquoi j'me suis mise aux RPG. A part ça. Trouver un truc intéressant à dire... J'aime la musique, un peu de tout, mais principalement pop-rock et alternatif. C'est vague, donc autant vous dire que j'suis extensible là-dessus.

Interview de people!.

Nous avons rédigé -pour vous- une interview. Vous devrez "faire répondre" votre personnage à chacune de ses questions. N'hésitez pas à développer, cela ne peut qu'être plus intéressant.

• « Bonjour! Allez-y, installez-vous... Bien. J'aimerais tout d'abord savoir quelque chose qui m'intrigue, et qui sûrement intrigue tout le monde: pourquoi avez-vous choisi de participer à Give peace a chance? »

« Ouah! Très bonne question! Hmmm. Allez, j'vous dis tout. En faite, mon ex petite-amie est dans l'émission elle aussi, mais elle fait partie des Hippies alors que moi, j'suis dans les acteurs. Ca posent un problème, mais c'était le seul moyen pour que je puisse la retrouver... Ca fait un peu feuilleton à l'eau de rose là non? »

• « Que pensez-vous apporter à cette émission de tv-réalité ? »

« Du charme, de l'élégance et de l'humour. Non. J'rigole. Pour être plus sérieux, j'pense que mon sens de l'humour risque de faire des ravages, au sens propre du terme. Et puis... D'après ce que j'ai vu, on est plutôt pas mal, nous les acteurs, alors on va pouvoir amener un peu d'action dans ce monde d'amour platonique. (rires)»

• « La production vous a-t-elle donné un rôle en particulier ? Si oui, lequel ? »

« Vous n'allez pas y croire... On m'a demandé de dragué mon ex petite copine, Loreley! Moi non plus j'en croyais pas mes oreilles quand ils me l'ont annoncé, mais visiblement, c'est ma principale mission dans cette émission. Seulement, j'sais pas trop à quoi m'attendre. Ca m'étonnerait qu'elle me retombe dans les bras aussi vite que je l'espérerais. »

• « Vous devez bien ressentir un peu de culpabilité, devant ces gentils hippies dociles. Non ? »

« Un peu oui. Mais ils sont tellement sympa, qu'à la finale vous oubliez un peu votre rôle d'acteur. Vous le jouez à la perfection ce personnage que vous seul connaissez. Il y a eu des moments déjà où j'ai failli tout arrêter, mais j'crois que j'commence un peu à m'attacher. »

• « Quel est l'évènement le plus marquant de votre vie ? »

« Vous en avez de ces questions! Là, tout de suite, j'dirais mon dix-huitième anniversaire. Le camp de redressement dans lequel je me trouvais voulait marqué le coup. Je sortais quelques jours après donc ils avaient décidé de m'organiser une petite soirée où je pouvais inviter qui je voulais. J'étais ami avec une fille... Julyanh je crois, et elle connaissait cette fille que je trouvais super mignonne. Mais bon, à 17 ans et demi, j'avais pas super confiance en moi. Donc, indirectement, j'lui ai demandé de l'amener. La soirée arriva et lorsque je descendis pour accueillir les invités et les remercier d'être venu, je l'ai vue. C'est la première fois que je lui parlais ce soir là. Loreley. Un prénom magnifique non? Au final, je passais plus de temps avec elle, qu'avec mes meilleurs amis qui était occupés à draguer de leurs côtés. C'est ce soir là où on s'est mis ensemble. J'ai attendu qu'elle sorte du centre. Un ou deux mois après moi, et on a continué de se voir. Puis, lorsque j'ai eu assez d'argent pour me payer un appartement, j'lui ai proposé de venir vivre avec moi. Enfin bref, cette soirée, ça a surement été le plus beau jour de ma vie. »

• « Quel est votre plus grand regret ? »

« Mon plus grand regret? Il y en a beaucoup, mais celui qui continue de trotter dans mon esprit comme si de rien n'était, remonte à peu de temps.
J'étais sorti le soir, pour retrouver des amis dans un bar afin de fêter un quelconque anniversaire. C'était la dernière fois qu'on était tous réunis puisque chacun de nous avait opté pour une voie différente à la rentrée suivante. Je marchais tranquillement dans la rue, lorsque mon père m'appela sur mon portable. Lui qui n'a pas l'habitude de s'en servir, ça me surpris de voir son numéro s'afficher sur l'écran. Bref, ni une, ni deux, je réponds directement. La conversation fut brève. Il me fit les recommandations que ferait n'importe quel père à son fils, autrement dit, ne pas boire de trop et éviter de s'attirer les foudres d'une tiers personne. Après l'avoir rassuré, je rangeai mon portable dans ma poche et poussai la porte du bar. D'un regard je parcouru la salle pleine et repérai mes amis, assis à une table, bière à la main. Je les rejoignit pour une soirée riche en émotion et en défis tous plus débiles les uns que les autres. Seulement, j'aurai dû écouter mon père, au moins cette fois. J'ai bu un peu plus que d'habitude et les effets de l'alcool montèrent rapidement au cerveau. Une fois dans la rue, je croisai un policier, rien de bien méchant, sauf que je ne marchais plus très droit. Le gardien de la paix me saisit par le bras. Prenant ça comme une attaque, je lui fous mon poing dans la gueule. Quelques minutes plus tard, j'étais au commissariat du quartier. Mon père était en train de payer la caution.

Pas un regard. Pas une parole. Je l'ai déçu comme jamais ce soir là. Voir son fils dans une telle position réduit à néant tous les espoirs que l'on avait pour lui. Je le comprends, vraiment. Mais lui, il ne me pardonnera sans doute jamais... »

• « Pouvez-vous vous définir en quelques mots ? »

« J'aime pas franchement parler de moi, alors vous attendez pas trop à un monologue. J'pense être quelqu'un d'assez terre à terre. J'ai un caractère assez fort, mais j'suis plutôt attentionné, avec n'importe qui, pas seulement avec les femmes. J'aime prendre soin des gens, les chouchouter. C'est étrange, mais j'crois que le manque d'affection que j'ai eu étant jeune, m'a drôlement marqué. Tiens, en parlant de ça, je ne suis pas super bon pour parlé de ma vie. J'aime pas. J'la trouve inintéressante, donc j'préfère pas aborder le sujet. J'suis plutôt sur de moi, j'agis comme j'le sens et j'prends pas trois heures à peser le pour et le contre, j'le fais ou j'le fais pas, mais j'me décide vite en tout cas. »

• « Tout le monde a des petites manies, des tics, des phobies. Et les vôtres ? »

« On me dis souvent que je rougis pour n'importe quoi. Bon, c'est peut être vrai, mais j'le fais pas exprès. Ensuite, j'ai la fâcheuse habitude de passer ma main dans mes cheveux et ce, peu importe le contexte. Au début, c'était simplement pour me recoiffer, mais maintenant, c'est devenu indispensable. Autant vous dire comment je sui perdu quand je me coupe les cheveux. Bon, le ridicule ne tue pas, donc j'vous dis ma phobie. J'ai peur du noir. Ouai, je sais, c'est digne d'un gamin de 6 ans, mais j'y peux rien non plus! »

• « Avez-vous un modèle, quelqu'un a qui vous aimeriez ressembler ? (acteurs, chanteurs, proches...) »

« En faite, j'aimerais beaucoup ressembler à toutes ces nouvelles rockstar qui se foutent pas mal de leur image. Ils vivent leur vie, vivent de leur musique, et se contrefoutent de ce qu'il peut leur arriver derrière. Le soucis, c'est qu'ils sont blindés de fric, et que c'est un peu plus dur, pour un mec comme moi, de me retrouver plein aux as en quelques semaines, juste parce que j'ai posé ma voix sur un morceau de guitare. »

• « Que pensez-vous faire après Give peace a chance ? »

« Reprendre une vie la plus simple possible. recommencez des études ou me trouvez un job. au pire, si j'ai beaucoup d'argent, j'me paye une petite année sabbatique dans un coin sympa, genre New-York et après j'vois ce que je peux faire faire. »

• « Qu'est-ce qui va le plus vous manquer de votre "ancienne vie" ? »

« Bonne question. Pas grand chose à vrai dire. Peut être de regarder les gens partir au boulot depuis mon balcon. C'est stupide, ej sais, une fois de plus, mais c'était ma petite récréation du matin. Un café, une cigarette et hop! Sur le balcon. C'est amusant de les voir se presser pour attraper le bus qu'ils sont sur de louper, ou pour ouvrir leur voiture et caler en plein milieu de la rue. Contrairement à beaucoup d'autres personnes, le bruit de la ville me relaxe énormément. Surtout quand moi, je n'ai pas à sortir de chez moi. »

• « Dans nos archives, nous avons retrouvé une citation de vous: "Il n'y a qu'une antistrophe entre femme folle à la messe et femme molle à la fesse.", pouvez-vous nous la commenter? »

« OH NON! Où est-ce que vous avez trouvé ça? (rires) Bon, j'ai plus qu'à m'expliquer si j'ai bien compris? Pour commencer par le commencement, j'ai piqué cette citation à Rabelais, un écrivain français. J'étais en soirée, complètement torché, et un de mes potes est venu pour faire un test de mon état. On sortais plus ou moins d'un cours de littérature et il voulait savoir si j'étais assez saoul pour ne me souvenir de rien. Manque de pot, je lui ai sorti cette citation qu'on avait appris en cours. Mais, soit dit en passant, je l'aime beaucoup cette phrase. Contrairement à ce que je pensais, certains français avaent beaucoup d'humour, dommage qu'ils soient morts.»

• « Qu'aimez-vous par-dessus tout ? »

« Les femmes. Et la cigarette. J'"crois que c'est à peu près tout. Ah non! Il y a aussi le café. Et bien oui, réfléchissez-y un peu. Projetez vous un samedi matin, vous vous réveillez après une soirée de folie, une jeune femme dans votre lit. Vous vous levez vers... 15 heures, puis vous lancez un café. Une fois celui-ci terminé, vous allez dans votre lit, vous tendez une tasse à votre compagne et vous allumez une cigarette. C'est parti pour au moins 15 minutes de détente. Après, tout dépend de ce que vous souhaitez faire avec la jeune femme en question... Mais bon, j'dis ça, j'dis rien hein! »

• « Et que détestez-vous ? »

« J'vous aurai bien fais une réponse à deux balles genre: "Les hypocrites, ceux qui font la guerre et les égoïstes." Mais non! Les hypocrites, s'ils sont heureux comme ça, tant mieux pour eux, pareil pour les égoïstes. Après, ceux qui font la guerre, c'est autre chose et nous, simples gens de la populace, n'y pouvont pas grand chose. Non, ce que je déteste par-dessus tout, c'est les empêcheurs de tourner en rond. On a tous eu un petit boulet au lycée qui nous suit partout. Vous savez, ce genre de mec qui vous idolâtre, qui vous prends pour le total contraire de ce que vous êtes. Et bien voilà, c'est ça que je n'aime pas. »

• « D'où vous est venu votre amour de la comédie ? »

« D'après mes parents, tout petit je commençais déjà à faire n'importe quoi. Par exemple, lorsqu'ils étaient levés, mais que le lit n'était pas encore fait, je me glissais dans leur chambre et m'amusais à jouer aux Power-Rangers avec mon frère. On refaisait leurs cascades stupides et on apprenait les dialogues des Tortues Ninjas par cœur. Et puis, j'avais tendance à faire du play-back et à imiter beaucoup trop les chanteurs du moment. J'reprenais leur mimiques et je chantais dans la brosse à cheveux de ma mère. Finalement, ils m'ont inscris à un cours de théatre et tout à commencé là-bas. »

•« Et pour finir, quelles sont vos relations avec les autres acteurs ? »

« Comme vous le savez, j'suis arrivé au camp il n'y a pas très longtemps. Je n'ai pas vraiment eu le temps de me frotter aux autres acteurs, mais d'après ce que j'ai pu constater, ils ont l'air plutôt sympa eux-aussi. Je n'ai pas trop de mal pour faire ami-ami avec les gens, j'espère que ça m'aidera ici aussi. »